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Dissonances vous invite à partir à la découverte de quelqu’un qui n’aime pas spécialement se donner à entendre, qui préfère agir que pérorer, qui mène sa vie comme elle la rêve, qui refuse de rentrer dans un moule, qui refuse les peurs et les soumissions.  

Aujourd’hui, l’invitée est Solène Péron. Si nous la présentions comme bretonne, elle qui n’aime ni les frontières ni les cases, ce serait limitatif, et elle refuserait d’être définie ainsi, comme elle refuse d’être définie tout court.

Solène est une femme libre, qui vit sa vie dans les lisières du monde, faisant écho au poète Joan Bodon qui écrivait « c’est dans les marges qu’est la liberté ».

Dans Dissonances, nous entendrons Solène évoquer sa manière d’être à la vie, forgée au hasard des rencontres, aux quatre coins de la planète.

Dans Dissonances nous l’entendrons aussi parler de, ses amis indiens, de son partage avec le peuple aborigène, de son amour pour la musique arabo-andalouse, et son dégout de l’injustice, des chaines et des peurs.

Dans Dissonances, au fil de cette heure d’entretien, c’est en tirant des étiquettes où sont inscrits des mots qui lui donnent à s’exprimer, que Solène va se livrer, petit à petit. Elle va nous faire partager, non pas ses vérités, car le doute est aussi un moteur qui la fait avancer, mais plutôt un bout de sa route qu’elle continue à tracer, seule, en toute indépendance…. Une route non prédéfinie, une route qu’elle ne suit pas, une route qui se dessine sous ses pas, au fur et à mesure de ses voyages et du temps.

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